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Loi sur l'avortement ...

Publiée le 17-01-2017

De la Marche pour la vie :

C2T_P50XEAA6GTQ"42 ans après la légalisation de l’avortement, certains le célèbrent comme une liberté au point de l’ériger au rang de droit fondamental.

Et pourtant :

  • l’avortement est d’abord une réalité sordide, car il consiste à mettre un terme à la vie d’un être humain,
  • un problème majeur : plus de 9 millions d’avortements en France depuis 1975,
  • un tabou : les opposants ne sont pas entendus et sont stigmatisés, et bientôt censurés via le nouveau délit d’entrave à l’IVG
  • Il fait l’objet d’un déni de la réalité: personne n’ose aborder la réalité de l’acte lui-même qui consiste à tuer un enfant, et la négation du syndrome post abortif est imposée.
  • La légalisation de l’avortement a initié une inversion du bien et du mal et contribué à  anesthésier les consciences.

Malgré ce constat, depuis 5 ans le gouvernement a fait de l’avortement une priorité politique, budgétaire et symbolique : remboursement intégral de l’avortement, suppression de la notion de détresse, revendication d’un droit fondamental à l’avortement, mesures de promotion de l’avortement ( suppression du délai de réflexion, instauration de quotas etc.), remboursement intégral des actes afférents à l’avortement, création d’un nouveau délit d’entrave à l’avortement.

42 ans d’IVG : 42 ans d’errance

La loi Veil devait contribuer à réduire le nombre des avortements : 42 ans plus tard, ils ont explosé.

La loi Veil devait favoriser le soutien aux femmes en détresse souhaitant garder leur bébé : 42 ans plus tard, ce volet de la loi n’a jamais été mis en œuvre.

La loi Veil devait libérer les femmes des grossesses imposées : 42 ans plus tard, ce sont 80 % des avortements qui sont imposés à la femme enceinte par son entourage, les parents des jeunes filles mineures ou le compagnon de la femme majeure.

La loi Veil devait donner le choix aux femmes : 42 ans plus tard, un nouveau délit d’entrave à l’avortement va menacer tous ceux qui veulent proposer des solutions alternatives et va donc réduire à presque rien la possibilité du choix.

La loi Veil devait rendre les femmes plus heureuses : 42 ans plus tard, le syndrome de stress post abortif est un sujet tabou et le regret de l’enfant qu’on a porté dans son ventre n’est ni reconnu, ni pris en charge."

 

 

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