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Saint Benoit Joseph Labre ne savait pas que ...

Publiée le 15-04-2019

     Saint Benoit Joseph, ce grand mendiant de l'Amour de Dieu, parcourant l'Europe, ne savait pas que le jour de sa fête liturgique fixée par l’Église le 16 avril, un enfant, quelque par en Bavière, en Allemagne, aurait porté son prénom. De manière assez singulière. Au Baptême, cet enfant reçu le prénom de Joseph, c'était le 16 avril 1927, le jour même de sa naissance. Puis, quelques dizaines d'années plus tard, le 19 avril 2005, il s'appellerait désormais, Benoit. Benoit, humble serviteur de la Vigne du Seigneur. Benoit, Pape !

 

     Benoit XVI, parlera de Saint Joseph-Benoit Labre en ces termes:
     "Le jour de mon anniversaire et de mon baptême, le 16 avril, la liturgie de l’Eglise a placé trois signes qui m’indiquent où conduit la route et qui m’aident à la trouver. En premier lieu, il y a la mémoire de sainte Bernadette Soubirous, la voyante de Lourdes; puis il y a l’un des saints les plus particuliers de l’histoire de l’Eglise, Benoît Joseph Labre; et puis surtout, il y a le fait que ce jour est toujours plongé dans le Mystère pascal, dans le Mystère de la Croix et de la Résurrection et l’année de ma naissance, il a été exprimé de façon particulière: c’était le Samedi Saint, le jour du silence de Dieu, de l’apparente absence, de la mort de Dieu, mais également le jour où l’on annonçait la Résurrection....
     ... Le jour de mon anniversaire et de mon baptême, le 16 avril, la liturgie de l’Eglise a placé trois signes qui m’indiquent où conduit la route et qui m’aident à la trouver. En premier lieu, il y a la mémoire de sainte Bernadette Soubirous, la voyante de Lourdes; puis il y a l’un des saints les plus particuliers de l’histoire de l’Eglise, Benoît Joseph Labre; et puis surtout, il y a le fait que ce jour est toujours plongé dans le Mystère pascal, dans le Mystère de la Croix et de la Résurrection et l’année de ma naissance, il a été exprimé de façon particulière: c’était le Samedi Saint, le jour du silence de Dieu, de l’apparente absence, de la mort de Dieu, mais également le jour où l’on annonçait la Résurrection."
(16 avril 2012 - extraits de l'homélie de la Messe)

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