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Sénateurs : encourageons-les à défendre la Vie‏

Publiée le 15-04-2014

Jeudi prochain, 17 avril, les sénateurs examineront en deuxième lecture le projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes.

Certains articles de ce texte constituent une véritable menace pour notre société en ce qu’ils visent à considérer l’interruption volontaire de grossesse comme un droit.

-Tout d’abord parce que la suppression de la notion de détresse contribuera à aggraver les avortements eugéniques ou à raison du sexe,

-Ensuite parce que les femmes, qui ne seront plus considérées comme en situation de détresse, seront encore moins accompagnées face à cette pratique qui est toujours vécue comme un drame,

-Enfin parce que les citoyens, avec l’extension du délit d’entrave à l’information sur l’IVG, seront privés de toute liberté d’expression sur le sujet. 

Il faut aussi craindre les obligations qu’engendreront un tel « droit » à l’avortement.  La prochaine étape sera-t-elle la suppression de l’objection de conscience ?

 

Les sénateurs de l’opposition doivent être encouragés à contrer ce véritable bouleversement juridique et éthique. Pour cela vous pouvez les contacter de manière courtoise afin de les inviter à se mobiliser avant jeudi.

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Vous trouverez l’adresse électronique de vos sénateurs en cliquant ici : par département ou par nom

Et toutes les informations sur l’enjeu actuellement au Parlement en cliquant ici.

 

Exemple de courrier électronique :
Madame, Monsieur le sénateur, j’ai appris que le projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes (n°444) serait débattu en séance plénière jeudi 17 avril. Figurent dans ce projet de loi deux articles qui conduisent à banaliser l’avortement. Le respect de la vie de l’être humain est une valeur qui est antérieure à la loi. Ce n’est pas parce que l’avortement a été dépénalisé dans certains cas que cet acte peut être érigé en droit. Au nom de quoi le non respect du principe de protection de l’être humain dès le commencement de sa vie (article 16 du code civil) quitterait le régime d’exception sinon pour instaurer un droit de vie et de mort ? De mon point de vue, il s’agit d’enjeux trop importants qui ne peuvent être votés sans un vrai débat national, c’est pourquoi je vous demande de déposer des amendements puis de voter ceux qui visent à réintégrer la notion de détresse pour recourir à une IVG, et à voter contre l’extension à l’information du délit d’entrave à l’avortement . Confiant dans votre souci de l’intérêt général, je vous prie de croire, Madame, Monsieur le sénateur, à l'expression de ma considération,(signature).

 

 

 

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