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A la veille des élections

Publiée le 06-05-2017

" Utopique de rêvasser à un monde sans violence, torture, exclusion, guerre, tout en approuvant la 1ère des violences, tortures, exclusions et guerre: celle des tout-puissants contre le plus innocent, le plus fragile, le plus vulnérable d’entre nous!
Utopique de rêver à une société où tous sont solidaires, interdépendants, tout en cassant la famille, la toute 1ère expérience et apprentissage de la solidarité sociale.
Utopique de rêver à une nation accueillant l’autre, l’étranger, la personne portant un handicap, tout en niant la différence fondatrice : l’homme et la femme.
Utopique d’exiger la parité dans toute la société, en rejetant la parité prototype, la plus vitale qui soit à l’enfant : un père, une mère !
Utopique de protéger l’enfant de tous les dangers et risques, tout en le violant psychologiquement en falsifiant son identité sexuelle naturelle !
Neutralité égale complicité.
Exister égale résister.
Silence égale connivence.
La Miséricorde faite chair est allée jusqu’au duel mortel entre l’homicide et le Prince de la Vie. Duel actuel, comme jamais. Combat à son paroxysme.
La Miséricorde, c’est l’amour en rébellion contre tout ce qui détruit son œuvre, surtout son chef d’œuvre entre tous : l’altérité conditionnant la fécondité. Bref, le mariage à dimension Trinitaire.
Devant tant d’horreurs menaçant l’enfant, comment se taire ? Comment rester indifférent ?
Comment dormir tranquille ?
Sans être lâche et poltrons ?
Comment ne pas se précipiter pour sauver l’agressé, le blessé, le violé, le naufragé, comme on plonge pour sauver in extremis un noyé ?
Faire miséricorde c’est s’indigner, se laisser toucher jusqu’aux entrailles face à une injustice patente, et se mettre immédiatement à faire quelque chose de concret pour remédier à la situation » (François. Jubilé des prêtres, 2.O6.16 DC N° 2524).
Démasquer l’imposteur,
dénicher le menteur,
débusquer le tueur.
Mais qui donc est à la manœuvre ?
Quel stratège dans les coulisses ?
Un seul, avec ses sbires : satan.
Notre frère et Père Jacques l’a démasqué : « Va-t-en satan ! » Diagnostic précis, que notre François ne cesse de poser :
« C’est une motion du père du mensonge pour défigurer le visage de l’homme et de la femme. »
« Un chrétien doit savoir ce qu’il peut accepter et ce qu’il doit condamner. On ne peut pas dialoguer avec l’ennemi de notre salut : il faut lui faire face en le combattant jusque dans ses intentions » (card. Bergoglio).
Et face au menteur,
on crie la Vérité immortelle :
« Tout au long des siècles, la négation de la Vérité a engendré souffrance et martyre » (Jean-Paul II, Chemin de croix, 24.4.2000).
« La vérité est immuable, on ne peut la détruire par des décisions et des décrets ! » (P. Jerzy Popiełuszko).
« Ce n’est pas parce que la Vérité ne se propage pas qu’elle devient mensonge, de même ce n’est pas parce que le mensonge se propage qu’il devient vérité » (Gandhi).
Les derniers temps : nous y sommes.
La preuve ? Le démon ne nous attaque plus aux périphéries, mais au cœur même de la Création.
Le gender, c’est l’arrogante rébellion du menteur contre le Créateur en tant que tel.
La révolte contre le réel !
Les derniers temps : ceux de l’apostasie finale
Nous y sommes.
Diagnostic précis de Jean-Paul II.
En Occident, c’est « l’apostasie silencieuse de l’homme qui se croit comblé sans Dieu ».
Et résonne le cri angoissé de Dieu : « Le Fils de l’homme, quand il viendra, trouvera t-il la foi sur la terre ? »
Et quand s’éclipse la lumière de la foi, la flamme de la charité s’éteint."

 

Père Daniel Ange

 

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