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Séparés - Divorcés - Divorcés remariés civilement : ce que l'Eglise vit et enseigne

Testi del Magistero sul tema dei fedeli divorziati e risposati civilmente

Publiée le 04-07-2014

Catechismo della Chiesa Cattolica:

 

Sul vincolo matrimoniale: nn. 1639-1640

 

[1639] Il consenso, mediante il quale gli sposi si donano e si ricevono mutuamente, è suggellato da Dio stesso (cf. Mc 10, 9). Dalla loro alleanza “nasce, anche davanti alla società, l'istituto [del matrimonio] che ha stabilità per ordinamento divino” (GS 48, § 1). L'alleanza degli sposi è integrata nell'Alleanza di Dio con gli uomini: “L'autentico amore coniugale è assunto nell'amore divino” (GS 48,2).

 

[1640] Il vincolo matrimoniale è dunque stabilito da Dio stesso, così che il Matrimonio concluso e consumato tra battezzati non può mai essere sciolto. Questo vincolo, che risulta dall'atto umano libero degli sposi e dalla consumazione del matrimonio, è una realtà ormai irrevocabile e dà origine ad un'alleanza garantita dalla fedeltà di Dio. Non è in potere della Chiesa pronunciarsi contro questa disposizione della sapienza divina.

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Lettre aux Evêques de l'Eglise Catholique sur l'accès à la communion eucharistique de la part des fidèles divorcés-remariés

Publiée le 14-09-2014

Document de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi 

 

14 septembre 1994

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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La communion aux divorcés reariés, l'enseignement de l'Eglise est fondée sur la Parole de Dieu - Saint Jean Paul II

Publiée le 01-09-2015

 

Extrait de Familiaris Consortio, de Saint Jean Paul II, paragraphe 84

  L'expérience quotidienne montre, malheureusement, que ceux qui ont recours au divorce envisagent presque toujours de passer à une nouvelle union, évidemment sans cérémonie religieuse catholique. Et comme il s'agit là d'un fléau qui, comme les autres, s'attaque de plus en plus largement aux milieux catholiques eux-mêmes, il faut d'urgence affronter ce problème avec la plus grande sollicitude. Les Pères du Synode l'ont expressément étudié. L'Eglise, en effet, instituée pour mener au salut tous les hommes, et en particulier les baptisés, ne peut pas abandonner à eux-mêmes ceux qui - déjà unis dans les liens du sacrement de mariage - ont voulu passer à d'autres noces. Elle doit donc s'efforcer, sans se lasser, de mettre à leur disposition les moyens de salut qui sont les siens.

     Les pasteurs doivent savoir que, par amour de la vérité, ils ont l'obligation de bien discerner les diverses situations. Il y a en effet une différence entre ceux qui se sont efforcés avec sincérité de sauver un premier mariage et ont été injustement abandonnés, et ceux qui par une faute grave ont détruit un mariage canoniquement valide. Il y a enfin le cas de ceux qui ont contracté une seconde union en vue de l'éducation de leurs enfants, et qui ont parfois, en conscience, la certitude subjective que le mariage précédent, irrémédiablement détruit, n'avait jamais été valide.

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