Benoît XVI de A à Z

Les petites phrases de Benoit XVI - 2011

Petites phrases de Benoit  XVI  2011

 

 

 

 

6 février 2011 – Angelus

     Dieu s'oppose radicalement à la tyrannie du mal.

 

6 février 2011 – Angelus

     Le Seigneur prend soin de l'homme en toute situation, partage sa souffrance, et ouvre son cœur à l'espérance.

 

 

6 février 2011 – Angelus

     Selon la foi et la raison, on ne peut réduire la dignité de la personne à ses facultés ou aux capacités qu'elle peut manifester, et par conséquent, celle-ci est toujours présente lorsque la personne elle-même est faible, invalide et a besoin d'aide.

 

 

 

 

 

6 février 2011 – Au terme de l’Angelus

      Quand la recherche scientifique et technologique est guidée par d'authentiques valeurs éthiques on peut trouver des solutions adaptées pour l'accueil de la vie naissante et la promotion de la maternité. Puissent les nouvelles générations de professionnels de la santé être porteuses d'une culture renouvelée de la vie.

    

 

    

 

 

    

 

 

 

 

 

11 février 2011 – Message pour la Journée Mondiale du Malale

     « Une société qui ne réussit pas à accepter les souffrants et qui n'est pas capable de contribuer, par la compassion, à faire en sorte que la souffrance soit partagée et portée aussi intérieurement est une société cruelle et inhumaine" (Lettre encycl. Spe salvi, 38).

 

11 février 2011 – Message pour la Journée Mondiale du Malale

     "C'est par ses blessures que vous avez été guéris" (1 P 2,24). Le Fils de Dieu a souffert, est mort, mais il est ressuscité et c'est justement pour cela que ces plaies deviennent le signe de notre rédemption, du pardon et de la réconciliation avec le Père ; mais elles deviennent aussi un banc d'essai pour la foi des disciples et pour notre foi ; chaque fois que le Seigneur parle de sa passion et de sa mort, ils ne comprennent pas, ils refusent et s'opposent. Pour eux, comme pour nous, la souffrance reste toujours lourde de mystère, difficile à accepter et à porter.

 

11 février 2011 – Message pour la Journée Mondiale du Malale

     C’est justement à travers les blessures du Christ qu'avec les yeux de l'espoir, nous pouvons voir tous les maux qui affligent l'humanité. En ressuscitant, le Seigneur n'a pas enlevé au monde la souffrance et le mal, mais il les a vaincus à la racine. A la force du Mal, il a opposé la toute-puissance de son Amour.

 

 

11 février 2011 – Message pour la Journée Mondiale du Malale

     Souvent, la Passion, la Croix de Jésus, font peur parce qu'elles apparaissent comme étant la négation de la vie. En réalité, c'est exactement le contraire ! La Croix est le "Oui" de Dieu à l'homme, l'expression la plus haute et la plus intense de Son amour, et la source d'où jaillit la vie éternelle. Cette vie divine a jailli du cœur transpercé de Jésus. Il est le seul qui soit capable de libérer le monde du mal et de faire se diffuser son Royaume de justice, de paix et d'amour auquel nous aspirons tous (cf. Message pour la Journée Mondiale des Jeunes 2011, 3).

 

 

11 février 2011 – Message pour la Journée Mondiale du Malale

     Sachez toujours voir sur le visage des malades le Visage des visages : celui du Christ.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

13 juin 2011 – Au Congrès du Diocèse de Rome

     La foi ne se conserve pas par elle-même dans le monde, elle ne se transmet pas automatiquement dans le cœur de l’homme, mais elle doit être toujours annoncée. Et l’annonce de la foi, à son tour, pour être efficace, doit partir d’un cœur qui croit, qui espère, qui aime, un cœur qui adore le Christ et croit dans la force de l’Esprit Saint!

 

13 juin 2011 – Au Congrès du Diocèse de Rome

     La profession de foi placée en conclusion du discours — «Dieu l’a fait Seigneur et Christ, ce Jésus que vous, vous avez crucifié» (Ac 2, 36) — est l’annonce joyeuse que l’Eglise depuis des siècles ne cesse de répéter à chaque homme.

     A cette annonce — lit-on dans les Actes des Apôtres — tous «eurent le cœur transpercé» (2, 37). Cette réaction fut certainement engendrée par la grâce de Dieu: tous comprirent que cette proclamation réalisait les promesses et faisait désirer à chacun la conversion et le pardon de ses propres péchés. Les paroles de Pierre ne se limitaient pas à une simple annonce de faits, elles en montraient la signification, en rattachant la vie de Jésus aux promesses de Dieu, aux attentes d’Israël et, donc, à celles de tout homme. Le peuple de Jérusalem comprit que la résurrection de Jésus était en mesure et continue d’être en mesure d’illuminer l’existence humaine. Et en effet, de cet événement est née une nouvelle compréhension de la dignité de l’homme et de son destin éternel, de la relation entre l’homme et la femme, de la signification ultime de la douleur, de l’engagement dans la construction de la société. La réponse de la foi naît lorsque l’homme découvre, par la grâce de Dieu, que croire signifie trouver la vraie vie, la «pleine vie».

 

13 juin 2011 – Au Congrès du Diocèse de Rome

     Le bienheureux Jean-Paul II a parlé de la nécessité d’une nouvelle évangélisation adressée à ceux qui, tout en ayant déjà entendu parler de la foi, n’apprécient plus, ne connaissent plus la beauté du christianisme, et le considèrent même parfois comme un obstacle pour atteindre le bonheur.

 

13 juin 2011 – Au Congrès du Diocèse de Rome

     L’incarnation appartient au cœur de l’Evangile!

 

13 juin 2011 – Au Congrès du Diocèse de Rome

     La vie n’est pas réellement transmise si l’on ne connaît pas également le fondement et la source éternelle de la vie. Chers parents, l’Eglise, en tant que mère attentive, entend vous soutenir dans votre devoir fondamental. Depuis leur plus jeune âge, les enfants ont besoin de Dieu, car dès le début, l’homme a besoin de Dieu et ils ont la capacité de percevoir sa grandeur; ils savent apprécier la valeur de la prière — du dialogue avec ce Dieu — et des rites, de même que percevoir la différence entre le bien et le mal. Sachez, alors, les accompagner dans la foi, dans cette connaissance de Dieu, dans cette amitié avec Dieu, dans cette connaissance de la différence entre le bien et le mal. Accompagnez-les dans la foi dès leur plus jeune âge.

    

 

13 juin 2011 – Au Congrès du Diocèse de Rome

     La parole de la foi risque de demeurer muette si elle ne trouve pas une communauté qui la met en pratique, en la rendant vivante et attirante, comme une expérience de la réalité de la vie véritable.

 

13 juin 2011 – Au Congrès du Diocèse de Rome

     N’ayez pas peur de vous engager pour l’Evangile!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2 novembre 2011 – Audience Générale

   Le chemin de la mort, en réalité, est une voie de l’espérance

 

 

2 novembre 2011 – Audience Générale

     L’amour appelle et demande l’éternité et il n’est pas possible d’accepter que cela soit détruit par la mort en un seul moment.

    

 

2 novembre 2011 – Audience Générale

     Nous éprouvons de la crainte à l’égard de la mort car, lorsque nous nous trouvons vers la fin de notre existence, existe la perception qu’un jugement est exercé sur nos actions, sur la façon dont nous avons mené notre vie, surtout sur les zones d’ombre que nous savons souvent habilement éliminer ou que nous nous efforçons d’effacer de notre conscience.

 

2 novembre 2011 – Audience Générale

     Seul celui qui peut reconnaître une grande espérance dans la mort, peut aussi vivre une vie à partir de l’espérance.

 

2 novembre 2011 – Audience Générale

     L’homme a besoin d’éternité et toute autre espérance est trop brève, est trop limitée pour lui.

 

2 novembre 2011 – Audience Générale

   L’homme n’est explicable, il ne trouve son sens profond, que s’il y a Dieu.

 

2 novembre 2011 – Audience Générale

     Le Christ nous soutient à travers la nuit de la mort qu’Il a lui-même traversée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

26 novembre 2011 – Rencontre organisée par la Pastorale des services de la santé.

     L’«Evangile de la Vie», précieux héritage du magistère du bienheureux Jean-Paul II.

 

 

 

26 novembre 2011 – Rencontre organisée par la Pastorale des services de la santé.

     Le mystère de la douleur semble voiler la face de Dieu.

 

 

26 novembre 2011 – Rencontre organisée par la Pastorale des services de la santé.

   Le mystère de la douleur semble voiler la face de Dieu, le rendant presque comme un étranger ou allant même jusqu’à le considérer responsable de la souffrance humaine; mais les yeux de la foi sont capables de regarder ce mystère en profondeur. Dieu s’est incarné, il s’est fait proche de l’homme, même dans les situations les plus difficiles; il n’a pas éliminé la souffrance, mais dans le Crucifié ressuscité, dans le Fils de Dieu qui a souffert jusqu’à la mort et à la mort sur la croix, Il révèle que son amour descend également dans l’abîme le plus profond de l’homme pour lui apporter l’espérance.

 

 

26 novembre 2011 – Rencontre organisée par la Pastorale des services de la santé.

     La Face du Sauveur mourant sur la Croix, du Fils consubstantiel au Père qui souffre comme un homme pour nous (cf. ibid., n. 17), nous enseigne à conserver et à promouvoir la vie, quelles que soit l’étape ou la condition dans laquelle elle se trouve, en reconnaissant la dignité et la valeur de chaque être humain, créé à l’image et à la ressemblance de Dieu (cf. Gn 1, 26-27) et appelé à la vie éternelle.

 

 

26 novembre 2011 – Rencontre organisée par la Pastorale des services de la santé.

     Puissiez-vous  découvrir dans l’arbre glorieux de la Croix du Christ «l'accomplissement et la pleine révélation de tout l'Evangile de la vie» (Lett. enc. Evangelium vitae, n. 50).

publié le : 17 février 2013

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